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HISTOIRE :
Quelques commentaires du Général
1967 - Président de la France de 1958 à 1969, De Gaulle a prononcé cette phrase lors d'une visite au CNRS à une époque où l'on déplorait le manque d'inventivité des chercheurs : « Des chercheurs qui cherchent, on en trouve. Mais des chercheurs qui trouvent, on en cherche… »
Grande messe à la cathédrale de Limoges, 20 mai 1962. De Gaulle, de retour à la préfecture : « J'aime bien ces messes. C'est le seul endroit où je n'ai pas à répondre au discours qu'on m'adresse. »
De Gaulle était sensible à l'humour de Tisot. « Au fond, Tisot fait le même métier que moi : il répète tout le temps la même chose. Mais lui, au moins, ça lui rapporte ! »
À Colombey, Malraux, qui s'entretient avec le Général, s'interrompt pour lui désigner le chat : « Regardez, mon Général, ses oreilles qui bougent. Le chat nous écoute. »
De Gaulle sourit : « Pensez-vous ! Je le connais… Il fait semblant. »
Printemps 1968. La Révolution culturelle fait rage en Chine. À Pékin, un cortège de gardes rouges défile avec des banderoles « Non à la tête de chien de De Gaulle ! »
Commentaire du Général : « C'est quand même un comble de se faire traiter de chien par des Pékinois ! »
Illustration du net
C'était un 10 juin !
Oradour-sur-Glane, qui autrefois, était un bourg paisible et dynamique avec son tramway et ses nombreux commerces va connaître l’horreur le 10 juin 1944.
En début d’après-midi, vers 14h00, près de 200 soldats allemands de la division "Das Reich" encerclent le bourg et rassemblent la population sur le Champ de foire, prétendant à un simple contrôle d’identité. Les hommes sont répartis en 6 groupes dans diverses granges d’Oradour tandis que les femmes et enfants sont regroupés dans l’église.
En quelques minutes, les hommes sont abattus puis brûlés puis c’est au tour des femmes et enfants de subir le même sort et d’être brûlés dans l’église.
C'était le 10 juin 1944. La vie s'est arrêtée à Oradour-sur-Glane. Le petit village de Haute-Vienne a perdu la quasi totalité de ses habitants. 642 hommes, femmes et enfants sont morts, fusillés, gazés, brulés par les nazis. Un village à jamais marqué par l'atrocité.
Ne pas oublier !
Ne jamais oublier !
Oradour n'est pas un cas isolé en Europe occidentale. En Italie, en Belgique, en Grèce, des divisions SS basculées à l'Ouest après avoir opéré en Union soviétique perpètrent de semblables tueries, suivant les méthodes éprouvées quotidiennement en Ukraine et en Biélorussie. En Italie, le 12 août 1944, le bataillon de la 16e Panzerdivision, dirigé par Walter Reder, un vétéran de la division "Totenkopf" et de la bataille de Kharkov, exécute les 560 femmes, enfants et vieillards du village toscan de Sant'Anna di Stazzema, avant d'y mettre le feu. Quelques semaines plus tard, près de Bologne, cette même unité exécutera les 955 habitants de Marzabotto....
publication RL Leucart
14 Mai 2016 ..Remember..
Le jour de La Fête de la Fusion
♪ ♪ ♫ Souvenirs..souvenirs..♪ ♫ ♪
avec la marionnette de la compagnie de l'Homme debout
" La nuit toutes les étoiles sont fleuries"
Ciné Alliance :
en présence de Nicolas Guillou, réalisateur "Le réseau Shelburn"
Pendant la Seconde Guerre mondiale plus de 10.000 avions alliés tombent sur le sol français. De 1943 à 1944, le Réseau Shelburn est mis en place par les alliés et la Résistance Française pour évacuer les aviateurs vers l'Angleterre. Dans les Côtes du Nord à Plouha, Marie-Thérèse Le Calvez, résistante depuis les premiers jours de l'occupation, va mettre son courage au service de la liberté.
Ce film fait revivre avec intensité et sincérité l’histoire vraie du réseau de résistants costarmoricains qui permit d’exfiltrer 135 aviateurs anglais tombés sous les bombes allemandes. Un Dunkerque made in Côtes-d’Armor.
en vidéo..quelques mots de présentation avant la projection par Nicolas Guillou accompagné du comédien Eric Simonin qui joue le rôle d'Ulrich ( un allemand) dans le film
2h03 minutes en salle au lieu de 3 heures 20..on ne s'ennuie pas du tout bien que film avec petit budget ..( 50 000 €)c'est une réussite ..avec comédiens très talentueux et plus que vrais dans leur rôle.
Excellent film dédié à la résistance bretonne sous l'occupation allemande. Une découverte pour moi qui ne connaissait pas cet épisode Breton.Et un très bel hommage au rôle des femmes dans la Résistance souvent occultées dans l'Histoire.. Ce film est un devoir de mémoire.Touchant.
Bravo au réalisateur, Nicolas Guillou, pour " ce devoir de mémoire" qui met en lumière un épisode important de l'histoire bretonne qui pourrait être oublié...
le film fut suivi d'un débat ( 1heure30 ) particulièrement intéressant et bourré d’anecdotes ..un échange passionnant par un réalisateur passionné ..
Vivement recommandé.
Pour la petite histoire ;Nicolas Guillou a eu l’opportunité de rencontrer trois résistantes du réseau Shelburn : Marie Gicquel, Anne Ropers et Marguerite Le Saux. C'est ainsi qu'il a eu l'idée de consacrer un film sur le réseau.
Le tournage a duré 3 ans et a nécessité 89 comédiens professionnels, 500 figurants et 2 000 bénévoles.
Rennes ; La croix de la Mission
La croix de la Mission est une croix de mission monumentale situé sur la place du même nom à Rennes, au confluent de l'Ille et de la Vilaine. Elle se trouve au bout du square Hyacinthe-Lorette dont la tour Duchesne occupe l'autre extrémité. Comme de nombreuses croix de mission, elle a été érigée le 14 février 1817 ... la Vierge et saint Jean concourent à la monumentalité de l'ouvrage.
Comme de nombreuses croix de mission, elle a été érigée le 14 février 1817 sur l'ancien placis Conan, devenu place de la Vieille-Monnaie puis place de la Mission. Elle commémore une mission menée en 1817 durant six semaines.
La croix porte le Christ et est placée sur un globe qu’entoure un serpent. Le globe lui-même se trouve sur un piédestal entouré par une statue de la Vierge et une de saint Jean. La croix a été dessinée par Joseph-Marie Gohier, architecte de la ville de Rennes.
Originellement, le monument se dressait seul au centre de la place, les bras de la croix étant terminés par des fleurs de lys remplacées depuis par des boules. L'aménagement actuel est consécutif à une restauration menée par l'architecte Arthur Regnault où l'emmarchement de granite, le socle de marbre, les statues de la Vierge et saint Jean concourent à la monumentalité de l'ouvrage ainsi qu'à la théâtralisation de la place
~ source Wikipédia/ WikiRennes ~
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