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Čσмρℓéтємєит тιмвяé !!
Quel est le comble pour un facteur ?
- C'est d'être timbré.
Qu'est-ce qui voyage à travers le monde et
reste dans un coin ?
- Un timbre !
Quand on mouille mon dos,
Je pars en voyage !
Qui suis-je ?
- Le timbre-poste !
Đαиѕ ℓα мαιи gαυ¢нє..
Je viens à vous avec un rameau d'olivier dans la main gauche, et une mitraillette dans la droite.
Ne faites pas tomber le rameau d'olivier.
Discours à l'ONU, 13 novembre 1974. de Yasser Arafat
Ựи ѕє¢яєт..
“ Tu dis ton secret à ton ami, mais ton ami a un ami aussi.”
~ proverbe Turc ~
Ẳρρяєи∂яє à ℓιяє...
Assis dans l'autobus, je m'amuse à observer les gens. Un homme quelconque sort soudain un journal de sa poche et semble spécialement intéressé par un article.
Curieux de nature, je m'étire le cou et cherche à lire le titre de la colonne qui retient son attention. Mais quelle n'est pas ma surprise en constatant qu'il tient son journal à l'envers, la page de bas en haut.
Intérieurement je me fais la réflexion qu'il s'agit sans doute d'un analphabète ou encore d'un handicapé visuel. Mais plus le trajet raccourcit, plus l'homme semble intéressé par son étrange lecture.
N'y tenant plus, au risque de me faire dire de me mêler de mes affaires, je pousse l'effronterie jusqu'à lui demander quel sujet l'intéresse si vivement. L'homme me regarde avec de grands yeux bien vivants, un petit sourire au coin des lèvres, et me répond ironiquement :
- "Ce matin, vous êtes le troisième à vous intéresser à ma lecture. Sachez, mon cher monsieur, que dans tout texte, l'important est toujours entre les lignes."
Et il descend paisiblement de l'autobus, son journal sous le bras. Et moi qui lis depuis l'âge de six ans...je crois que cet inconnu vient de m'apprendre à lire...
Đαиѕ мα ѕσℓιтυ∂є..
Je ne t'oublie pas, je ne vais pas bien en ce moment tu le sais.
Je suis amoché,fracassé par les aléas de la vie.Ca n'en fini pas.Mais je t'aimerais toujours, toujours de travers, jamais à moitié.Tu es la première toi ma ville, toujours. Ne m'oublie pas.
Ł'єиfαит ¢нéяιє..
Je suis l'enfant chérie : le merle et l'étourneau
Chantent mon arrivée, perchés dans les rameaux;
Moi, perle des narcisses et jonquille nouvelle,
A travers la contrée, j'ai entendu l'appel.
Et les vergers retentissent de voix qui chantent
Aussi bien mon jupon que ma robe charmante;
Les enfants jouent et que disent-ils? Ecoutez!
Ils disent : " La belle jonquille est enfin née!"
~ C.M. Barker ~
Après l’hiver
N’attendez pas de moi que je vais vous donner
Des raisons contre Dieu que je vois rayonner ;
La nuit meurt, l’hiver fuit ; maintenant la lumière,
Dans les champs, dans les bois, est partout la première.
Je suis par le printemps vaguement attendri.
Avril est un enfant, frêle, charmant, fleuri ;
Je sens devant l’enfance et devant le zéphyre
Je ne sais quel besoin de pleurer et de rire ;
Mai complète ma joie et s’ajoute à mes pleurs.
Jeanne, George, accourez, puisque voilà des fleurs.
Accourez, la forêt chante, l’azur se dore,
Vous n’avez pas le droit d’être absents de l’aurore.
Je suis un vieux songeur et j’ai besoin de vous,
Venez, je veux aimer, être juste, être doux,
Croire, remercier confusément les choses,
Vivre sans reprocher les épines aux roses,
Être enfin un bonhomme acceptant le bon Dieu.
Ô printemps ! bois sacrés ! ciel profondément bleu !
On sent un souffle d’air vivant qui vous pénètre,
Et l’ouverture au loin d’une blanche fenêtre ;
On mêle sa pensée au clair-obscur des eaux ;
On a le doux bonheur d’être avec les oiseaux
Et de voir, sous l’abri des branches printanières,
Ces messieurs faire avec ces dames des manières.
26 juin 1878
~ Victor Hugo ~
Ряιитємρs
Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire !
Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire,
Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis !
Les peupliers, au bord des fleuves endormis,
Se courbent mollement comme de grandes palmes ;
L’oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ;
Il semble que tout rit, et que les arbres verts
Sont joyeux d’être ensemble et se disent des vers.
Le jour naît couronné d’une aube fraîche et tendre ;
Le soir est plein d’amour ; la nuit, on croit entendre,
A travers l’ombre immense et sous le ciel béni,
Quelque chose d’heureux chanter dans l’infini.
~ Victor Hugo ~
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